Catégorie : Vos commentaires

  • La Lozère de Denise

    La Lozère de Denise

    En réponse à Danièle

    La Lozère… une région qui nous est chère et où nous nous rendons régulièrement depuis bien longtemps.
    Nous y étions il y a tout juste un an et y avons découvert une superbe piste avec une grande concentration de menhirs et dolmens.
    Magnifique Lozère avec ses toits en lauze aux cheminées en pierres plates, ses murets où colonisent lichens et mousses… mais où le Caussenard, pour défricher ses champs, a d’abord dû enlever les pierres.
    Il faut y aller et se laisser envoûter par sa magie, son dépaysement, sa sérénité.


  • En Lozère

    Aujourd’hui, c’est férié. Je vous laisse la parole

    Jour de promenade,
    Jour d’harmonie possible avec Dame Nature,
    Ouvrons les yeux,
    Respirons les couleurs qui nous entourent,
    Vivons au chant des oiseaux
    C’est la promenade en Lozère proposée par Danièle… images très inspirantes…

  • Mignonne, viens à l’atelier…

    Mignonne, viens à l’atelier…

    C’est dimanche et c’est le jour des roses

    Merci Marie Claude de ton commentaire car je voulais justement dire aujourd’hui, allons voir si la Rose est éclose….
    Et à voir vos photos reçues et celles faites à l’atelier, nous y sommes vraiment..
    Merci Michèle, Noëlle, Babeth, Françoise et Mimi.
     

    Celles de l’atelier sont lasses de vous attendre : elles s’épanouissent magnifiquement. Vous les voyez en tête de page. 
    Elles parlent avec la pivoine elle aussi très en forme, magnifique et généreuse : 
    Roses de juin, vous les plus belles
    Roses de Juin, vous les plus belles
    Avec vos cœurs de soleil transpercés ;
    Roses violentes et tranquilles, et telles
    Qu’un vol léger d’oiseaux sur les branches posé ;
    Roses de juin et de juillet, droites et neuves,
    Bouches, baisers qui tout à coup s’émeuvent
    Ou s’apaisent, au va et vient du vent,
    Caresse d’ombre et d’or, sur le jardin mouvant ;
    Roses d’ardeur muette et de volonté douce,
    Roses de volupté en vos gaines de mousse,
    Vous qui passez les jours du plein été
    A vous aimer dans la clarté ;
    Roses vives, fraîches et magnifiques, toutes nos roses
    Oh ! que pareils à vous nos multiples désirs, 
    Dans la chère fatigue ou le tremblant plaisir
    S’entr’aiment, s’exaltent et se reposent !
    Emile Verhaeren, Les Heures d’après-midi
                                        
  • Le Paris de Annie

    Le Paris de Annie

  • LE VERT d’Annie

    LE VERT d’Annie

  • BLANC

    BLANC

    Petit retour en arrière aujourd’hui : qu’importe puisque notre temps est….suspendu pour quelques semaines encore.
    Hier, je vous ai laissé la parole. Aujourd’hui également.

    Livre d’Anne, spécialisée dans le scrapbooking, a joué sur le blanc :

     

    Christiane également, reprenant l’esprit des derniers exercices que j’ai proposé dans le cadre de l’atelier Broderie . Nous parlions Perles cette année.

    La symphonie blanche de Martine est naturelle : elle n’a pas déconfiné mais elle a juste regardé dans Son kilomètre…

    Et pour vous, qu’y a t-il dans votre kilomètre ? Quels éléments vous donnent du baume au cœur ?
    Dites le moi par mail, je publierai ensuite. 
    Partageons ces bons instants…
    Belle journée,

  • LE MARCHÉ CONFINÉ de Christine

    LE MARCHÉ CONFINÉ de Christine


    Aujourd’hui, c’est dimanche et c’est jour de marché au Mans. Voici le récit de Christine de son marché d’hier samedi. Et oui, chez nous, il y a un marché chaque jour ou presque ! 
    Samedi 25 avril
    Je reviens du marché qui peut s’apparenter à ma Bérézina personnelle, le rude climat en moins. Que je vous conte la chose!

    J’appréhende les mesures, les obligations, les barrières. Un peu énervée, quoi!  J’étais également joyeuse de retrouver peut-être, Jérôme et Monique aux légumes, Sophie au fromage et Bruno aux plantes de jardin. Et puis les producteurs de fraises et asperges de Saumur. La meilleure saison pour ça. Quand je travaillais ailleurs qu’en Sarthe, le marché de la Cité des Pins était mon premier terrain de jeu du WE et j’ai gardé l’habitude de traverser le Mans pour retrouver mon marché à moi.

    La préparation du départ est laborieuse. Mes deux paniers, j’enlève les boîtes à oeufs, avec le covid, ils n’en veulent plus, comme si j’avais la peste sur mes boîtes mais pas eux sur les leurs. Mon téléphone qui était en charge, mon porte-monnaie duquel je retire les gros billets que je suis allée retirer au distrib, les clés de voiture, ma liste d’achats. Ah zut, j’allais oublier l’attestation. J’en photocopie plusieurs… Au bout d’un quart d’heure, me voilà partie.

    Je me gare facilement. Ah ils ont confiné le marché dans un mouchoir de poche enclos comme un foirail. Ils auraient pu mettre des barrières électrifiées pour qu’on soit plus dociles.  Une file d’attente traverse la grande place laissée libre. C’est un quartier ouvrier, SNCF et Renault, à l’origine. Les gens ont pris de l’âge, ils viennent plutôt à 8h30. Pas trop de monde à 10h, presque tous masqués et à trois mètres de distance. Moi qui vais aussi au marché pour la convivialité, un petit mot avec chacun sur tout et rien, ce qui fait la Vie! Comprends pas que l’un derrière l’autre, les gens soient si éloignés… A croire qu’au Mans, le virus s’est mué en morpion qui saute d’une personne à l’autre! Au sas d’entrée, un distributeur de gel, que j’ignore. Le garde-barrière me rappelle à l’ordre. J’ai les mains propres. C’est obligatoire. Bon. J’appuie sur le poussoir (sans doute plein de covid!) et je récupère un demi-dé à coudre de gel. Puis je commence le circuit qu’ils ont conçu en mode Ikéa, sans le fléchage au sol. Sauf qu’il n’y a pas de raccourci, des luminaires à la poissonnerie.

    Monique me sert des légumes, elle porte un joli masque avec des fruits rouges tandis que Jérôme en a un avec des légumes. Je ne vois rien avec, me dit Monique, ça met plein de buée sur mes lunettes. Au moment de payer un chou pointu, de la salade et des carottes … j’ai laissé mon porte-monnaie à la maison. Ce qui peut arriver de pire dans des conditions pareilles. Jérôme me fait crédit. Je vais aller chez mes enfants qui habitent tout près emprunter de l’argent et revenir. 

    C’est long aussi de ressortir. Je passe sous une rubalise pour gagner du temps, me fait enguirlander par le garde-barrière de la sortie, prend le café chez mes enfants (avec les gestes barrière), apprend que je garde mes petits-enfants jeudi prochain -ils veulent manger poulet-lentilles- et je retourne au marché. 11h30 : La file d’attente est très longue. Auraient-ils organisé un concert de Michèle Torr? Mais moi, j’aime pas trop Michèle Torr.

    Alors je reprends ma voiture, je rentre chez moi (sans fraises, sans asperges…) et je vous raconte mon fiasco… 

    Peut-être Monika passera tout à l’heure ((gestes barrières, etc) avec une barquette de fraises achetées au Grand Frais. Là, ils distribuent des gants obligatoires à l’entrée. Comme ça, les gens déposent du covid sur les fraises avec les gants. Tout de même plus élégant… Ah, il faut que je pense à aérer mes fraises dans le jardin pour que le covid s’envole. Bien probable qu’il se réincarne en pucerons sur mes rosiers…


    Christine
  • VERT de Brigitte

    VERT de Brigitte

    Vert, vous avez dit vert…

    Je n’ai pas pu résister à prendre une photo de vert et peut être de vers aussi .
    Ce sont les nuances de vert de la « pelouse » et de gris de ma Poule-Poulette (c’est son nom) qui ont attiré mon regard.
    J’avoue qu’en vrai c’était plus évident qu’en photo.
    Je voulais montrer aussi que la NATURE n’en n’a que faire du covid et autres virus malsains. En ce moment surtout, elle se démène pour nous éblouir avec ses explosions de couleurs et ses parfums . Elle nous aide à traverser cette période grise.
    Je pense qu’il faut profiter au maximum de ces petits bonheurs quand on a la chance d’avoir des jardins et de penser à ceux qui ne peuvent y goûter .
    Zone contenant les pièces jointes
  • VERT de Cécile

    VERT de Cécile

    Aujourd’hui, c’est dimanche : je vous laisse la parole.


    Cécile souhaite vous présenter un peintre important pour elle, dans les gammes de vert : 

    Jack Butler Yeats (frère du poète William Yeats) qui utilise beaucoup de vert aussi et pas toujours en extérieur, sa peinture est assez « rude » parfois mais j’aime beaucoup.

    Allez voir : 


    Et Cécile a aussi travaillé dans les pas de Séraphine en suivant le thème de l’année qui tournait autour du travail des perles. 

  • COMMENTAIRE de Brigitte

    Un message de Brigitte : 

    A la lecture de tes textes concernant la couleur puis les écrits de S.Tesson je te soumets une intervention possible qui se retrouve en lien avec ces deux thèmes

     » le rapport au temps, au silence, à la solitude, il y a des gens qui goûtent cela « 

                     Elle est peintre internationalement reconnue

                     Elle est « Passagère du silence »:

                    – Fabienne Verdier une artiste contemporaine –

    Après dix ans d’initiation en Chine à l’art pictural antique et à la calligraphie elle construit une oeuvre personnelle très étonnante de « l’unique trait de pinceau »

    Mais ses pinceaux elle les fabrique …et quels pinceaux !

     Si peut être, vous découvrez cette artiste, je vous invite à consulter une interview France Culture la concernant ( google- youtube décembre 2019 -sur les traces de Cézanne ) ainsi que 2 autres vidéo la montrant au travail…

    …et ensuite tous les articles sur les multiples facettes de son talent

    « Passagère du silence » est le titre de son auto-biographie, récit épique d’une formidable aventure intérieure

     Une vie hors du commun, une artiste qui me fascine.

    Alors nous partageons ce même plaisir et son livre a été une vraie révélation. Je ne possède pas de livre d’art sur elle (un peu hors de mon budget !) mais elle a eu une exposition il y a peu de temps et son travail et, comme celui de Geneviève ASSE, une méditation, un bruit silencieux…
    Vous trouverez beaucoup de vidéos ou elle parle de son travail, et même on peut la voir en atelier. A me manquer sous aucun prétexte…
    Merci Brigitte,